La pétition Pour nos enfants, que le changement climatique soit un enjeu majeur des élections présidentielles 2022, lancée par Terre des Hommes France, a récolté plus de 28 900 signatures !
Cette pétition est venue soutenir l’interpellation des candidats aux présidentielles, faite par l’association, afin qu’ils se positionnent sur des mesures concrètes, cohérentes et ambitieuses en faveur du climat et du droit à un environnement sain et sûr
Malgré quelques retours et des contacts directs avec plusieurs cabinets de campagne de candidats, Terre des Hommes France n’a reçu aucune proposition concrète !
POURTANT,
Le GIEC a publié, le 28 février dernier, le 2e volet de son 6e rapport d’évaluation, dans lequel il décrit les conséquences du changement climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes, ainsi que les pistes d’adaptation et leurs limites. Le constat de ce rapport, qualifié « d’atlas de la souffrance humaine » par le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, est une nouvelle fois sans appel. 4 risques clés identifiés et qui menacent la France : vagues de chaleur, diminutions de rendements agricoles, pénuries d’eau et inondations ! Les enjeux climatiques et environnementaux n’ont pas marqué cette campagne présidentielle, à l’image du 2e volet du rapport du GIEC qui a fait l’objet d’une indifférence révoltante !!
Vous souhaitez des éléments concernant les programmes de chaque candidat ? Nous vous proposons d’aller voir l’analyse des programmes des candidats, réalisée par le Réseau Action Climat en cliquant ici.
L’humanité dispose de moins de 3 années pour inverser la courbe des émissions de gaz à effet de serre !
C’est ce que dit le GIEC, dans le dernier volet de son 6e rapport, publié le 4 avril dernier, et qui est dédié aux solutions que l’humanité peut mettre en place pour contenir le dérèglement climatique. Encore faut-il que nos responsables politiques cessent de les ignorer !
La mobilisation continue !
Solidairement,
L’équipe de Terre des Hommes France
"Nous n'héritons pas la Terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants."
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